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Together vite ! Le nouveau spectacle de la compagnie Norma Claire

Together Vite !!
du 1er au 20 mars 2011 – Théâtre Antoine Vitez – Ivry sur Seine

La Créolisation du Monde a toujours été, est, sera.

Together, vite ! révèle l’urgence de se vivre ensemble, différents, et invite à sortir des préjugés, des carcans de l’enfermement des races supérieures ou non. Enfin vite, ensemble pour se plonger dans l’énergie de nos diversités, de nos multiplicités, vite pour se vivre complexe, multiple, créole. Nous sommes traversés par les êtres, par l’humanité de chacun d’entre nous, par nos sensibles diversités culturelles, et émotionnelles… Alors, vite soyons comme le dit Edouard Glissant « Peuple Monde ».

Sur scène, 5 danseurs et 1 musicien.

Distribution : Zineb El Medhi, Justine Antona, Dolsy Baudry, Fulgence Oula et Sivilay Vichittra
Création chorégraphique : Norma Claire
Musicien : Armel Dupas
Création lumière : Romain Rastimba
Création costume : Erick Plaza Cochet
Coproduction : Théâtre d ‘Ivry-Antoine Vitez et la Compagnie Norma Claire

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De 1976 à 1992 Norma Claire a dansé dans des ballets antillais et africains ainsi qu’en soliste, en première partie des spectacles en France du Ballet National du Sénégal. Elle forme sa compagnie en 1992. Les danses africaines interviennent de façon décisive dans sa démarche créatrice. Elle part de l’essence même de ces danses, de l’énergie puisée dans la terre, pour donner matière et vie au corps dansant. Il en résulte une « liberté », une dynamique au niveau de ses chorégraphies, portée par des images d’espoir sur la femme noire, l’Afrique et l’existence d’une identité créole, rendant compte de l’ensemble de la réalité humaine.

Norma Claire enseigne la danse africaine au Studio Harmonic, au Studio Peter Goss et dans les écoles délivrant des formations professionnelles (Free Dance Song, Studio Harmonic, Centre des Arts Vivants à Paris, Centre d’Etude Artistique à Bordeaux).

Elle donne de nombreux stages : Stages Internationaux de Montpellier, aux Hivernales à Avignon… et en Europe. elle intervient régulièrement au Tanz Fabrik de Berlin en Allemagne, ainsi qu’en Italie, en Suisse et en Belgique.

Elle organise des stages de danse en Afrique avec les Ballets nationaux du Mali, du Sénégal, de Guinée…

Une formation d’animatrice socio-culturelle et de psychologue lui donne, les outils nécessaires à l’impulsion de la culture dans laVille : faire entrer la danse dans le paysage urbain.

 

Panorama 2009 | Norma Claire :: Va, Vis 

 


Poulbwa ! dernier spectacle de danse de Max Diakok

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Diakok met en scène Poulbwa !

Le chorégraphe guadeloupéen, Max Diakok présente une pièce chorégraphique de 60 minutes pour 5 danseurs et 3 musiciens autour du gwoka et de l’agoubaka. Poulbwa est une peinture poétique de la société de consommation. Voguant entre humour décalé et gravité, cette pièce chorégraphique met en perspective les rapports changeants qu’entretiennent entre eux les individus au gré de l’intrusion des objets de consommation dans leur espace personnel ou social. Dès lors, qui de l’individu et de l’objet mène la danse ? Est-ce l’objet qui donne un statut à l’individu ? L’individu est-il en mesure de jongler librement avec l’objet selon ses réels besoins ? Loin de privilégier une vision manichéenne de cette mécanique de la consommation qui n’induirait que « consumation » de l’individu, Poulbwadépeint également le cheminement têtu de l’espoir.

Photos : Olga Schanen

Vendredi 18 et samedi 19 mars à 20 h 30, dimanche 20 à 16 heures à la MJC Club de Créteil, et du mercredi 13 au samedi 16 avril à 19 heures et dimanche 17 à 18 heures au Théâtre de l’Epée de bois à la Cartoucherie de Vincennes.

 


Diakok, chorégraphe de l’agoubaka

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Max Diakok a découvert la danse dans l’univers des soirées léwòz pratiquées dans les zones rurales de la Guadeloupe (Sainte-Rose, Baie Mahault, Le Lamentin). Il y découvre une forme de danse traditionnelle très codée. Des maîtres-ka le guideront durant ces années d’initiation par immersion et dès 1980, il commence à s’exprimer dans les « rondes ». A partir de 1987, il continue sa quête avec des groupes de gwoka moderne pour lesquels il danse en solo. Au cours de l’année 1989, il continue son apprentissage par l’étude de nouvelles formes de danse : modern-jazz et danse moderne avec Léna Blou, danse classique avec Simone Texauraud. En 1990 il quitte la Guadeloupe pour la Ciotat et Toulon et y séjourne pendant une année pour suivre une formation en danse classique tout en travaillant parallèlement la danse contemporaine. Arrivé à Paris en 1991, il intègre L’école de Jazz Rick Odums pendant deux années. Gardant en ligne de mire sa quête d’une nouvelle gestuelle à la fois enracinée et universelle, il se consacre prioritairement à la danse contemporaine, à la danse africaine et à des techniques corporelles tel que le yoga tout en continuant à puiser dans son vocabulaire de gestuelle gwoka. Max Diakok a approfondi son travail de création chorégraphique au sein de la Compagnie Boukousou, créée à Paris en 1995. Il revisite les gestuelles guadeloupéennes, en particulier le gwoka, en y introduisant d’autres dynamiques, d’autres traitements de l’espace, en introduisant d’autres développements rythmiques, en flirtant avec la théâtralisation, voire le détournement de la gestuelle gwoka. Ce travail augure l’avènement de sa nouvelle gestuelle dite « agoubaka ».

Max Diakok, dans sa quête de la gestuelle gwoka,  s’est entouré de musiciens tels qu’Alain Jean Marie, Roger Raspail, Dominique Tauliaut, ou Rico Toto… Ses créations ont déjà été programmées dans de nombreux festivals : Paris, France, Bristol, Brighton, Liverpool, Dakar, Budapest, Guyane, Martinique.

Max Diakok a notamment travaillé avec Les chorégraphes et Cie (Paolo Campos, Germaine Acogny, Jean François Duroure), Carpe Diem, Axis Project (franco-anglais). Pierre N’Doumbé, Christian Bourigault ou la    guyanaise Norma Claire. Au Théâtre, il a travaillé avec les metteurs en scène Luc Saint-Eloy du Théâtre de l’Air nouveau, Jean-Michel Martial et la Cie l’Autre souffle. Il a également participé à diverses émissions de variété à la télévision française (Michel Drucker, Jacques Martin, Jean-Pierre Foucault…).


Source : http://www.fxgpariscaraibe.com/article-max-diakok-67393078.html

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DIAKOK : ARTISAN DE LA CULTURE KREYOL

Christiane Emmanuel, la danse contemporaine en Caraïbe

Formée à la danse en Martinique (Centre Martiniquais de la Danse, SERMAC (ville de Fort-de-France), dans l’Hexagone ((Académie Internationale de Danse – Paris) et à Cuba (5 années à l’Escuela Nacional del Arte de Cuba), la danseuse et chorégraphe, Christiane Emmanuel a toujours bousculé les codes, poussant toujours plus loin les cloisons de la danse contemporaine et expérimentale, tout en restant ancrée dans la culture Caribéenne et le patrimoine Martiniquais.

Enseignante en Martinique, au SERMAC, elle dirige également depuis 1994,sa propre compagnie de danse et explore à travers à chaque création, les questionnements et maux de la société. Trop rare dans l’hexagone, elle était tout de même présente aux Rencontres de la Villette , à Paris, en 2009.

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Djazz douss aux Rencontres_de_la_Villette_2009

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Site officiel : http://christianeemmanuelcompagnie.blogspot.com/

Page Facebook : http://fr-fr.facebook.com/profile.php?id=100000898743852

Pour voir des extraits vidéos de ses spectacles : http://www.myspace.com/video/ciechristianemmanuel

Difékako brûlera de tous feux pour l’anniversaire de ses 15 ans, le 12 décembre !

Difekako is a dance company that mixes African and French West Indian dances and music with urban styles as hip-hop, but also story tales. Created and directed by Chantal Loïal, a modern dancer and choregrapher, Difekako is made of professional dancers and musicians of all origins that perform in dance shows, street parades, ballroom-shows. It is also a dance school for everyone interested.

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Difekako fêtera ses 15 ans d’existence le dimanche 12 décembre au Centre Fleury Goutte d’Or – Barbara à Paris (18ème).

Depuis 15 années, Difékako, « quelque chose qui brûle sur le feu » en créole, compagnie de danses et musiques afro-antillaises sous la houlette de sa directrice artistique Chantal Loïal, s’engage au service du métissage des disciplines artistiques entre Afrique, Europe et Antilles…

Interview de Chantal Loïal

Entre danses, chants, contes, bal-concerts, parades de rues, animations diverses et surtout beaucoup d’humour, Difé Kako met le feu à tout ce qu’il touche !!!!

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EXTRAITS DES BAL-CONCERTS

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EXTRAITS DES SPECTACLES

Extrait de « Château d’eau » (en répétition)

Extrait de « Zandoli pa ti ni pat' »

Extrait de « Makak janbé croco »

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Toute l’actualité de Difékako sur difekako.com